L’Académie des sciences coule les climato-sceptiques

 

 

Académie des sciences

Le changement climatique

26 octobre 2010

Depuis des millénaires, le climat de la Terre varie selon les époques et les lieux. Les changements observés s’étalent généralement sur des longues périodes qui atténuent la perception que l’homme peut en avoir à un moment donné. Au cours des dernières décennies cependant, les changements climatiques semblent s’être accélérés. Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que le public s’interroge sur la réalité de ces changements, leurs causes, leur devenir et, plus encore, leurs conséquences immédiates et lointaines sur les modes de vie, la santé, les écosystèmes et l’économie. À ces questions, la Science peut tenter d’apporter des réponses autorisées, même si elles ne sont que partielles ou temporaires, dès lors qu’elles sont guidées par le souci d’objectivité qui doit présider à toute démarche scientifique. C’est dans ce contexte que la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche s’est tournée vers l’Académie des sciences pour qu’elle organise un débat scientifique, afin de faire le point des connaissances actuelles sur ce sujet.

Le débat, ouvert à quelque 120 scientifiques français ou étrangers, dont des spécialistes extérieurs à l’Académie, a été organisé sous forme de contributions écrites suivies d’un débat oral qui a eu lieu le 20 septembre 2010. La diversité des disciplines représentées – mathématiques, physique, mécanique, sciences de l’univers, chimie, biologie et sciences médicales – reflète la complexité du sujet et la volonté de l’Académie de placer cette manifestation sous le signe de l’interdisciplinarité. Le débat, très riche et de haute tenue scientifique a porté sur les méthodes de prévisions climatiques ; il a permis de confronter les différents points de vue, de dégager des points de convergence et d’identifier les divergences et incertitudes qui persistent. Il est le point de départ d’une réflexion qui sera prolongée ultérieurement.

Editorial du 2 novembre

Il semblerait que cette connaissance a également atteint  les rives  nord du Bassin d’Arcachon   🙂

Une conférence a été organisée sur ce thème vendredi dernier à Andernos-les-bains.

Malicieusement, on peut faire remarquer à certains élus qui,  hier dans leurs écrits niaient cet état de fait, qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis…

Alors pourquoi s’obstiner à construire un EPADH dans la chênaie du Coulin et pourquoi vouloir étendre le port de plaisance du Betey au détriment des arbres ?

 

 

 

 

 

 

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